Jardin, Délires & Délices en images

KAMBACH dans "le jardin de Doze"

Une femme au visage bleu erre dans le jardin de Kambach.

Un air faussement sage pour cette demoiselle.

 Détail du jardin des délires de Kambach.

Délire absolu pour ce jardin rempli de fauves.

Tâm installe son jardin privé.

Tâm aime que l'on foule ses dessins et qu'on se roule dedans.

  

Doze installe ses photos dans son jardin de délires et délices.

Les photos de Doze avec une scénographie de La trocambulante. 

Composition végétalisée pour un jardin tout en délices.

De l'art au prix qu'on veut : de nombreux visiteurs ont pu apprécier la démarche et repartir avec un dessin de Tâm.

© C. Lafosse

Jardin Délires & Délices

Un regard pictural, photographique et plastique pour une exposition au "Jardin, Délires & Délices"

avec KAMBACH, Tâm, Doze et La Trocambulante.

Hôtel de Mézières à Eaubonne

du 15 au 26 novembre 2013

Vernissage samedi 16 novembre 2013 à 18h

avec le délire musical de Fred Tronche à la contrebasse.

Gabrielle Ka à l'atelier

KAMBACH expose le travail photographique d'une jeune artiste Gabrielle Ka

 Plusieurs séries sont visibles comme "Paris? c'est qui ?" où "Le regard des autres"

Vernissage à l'atelier

mercredi 16 octobre 2013 à 19h.

La femme dans la ville sur le Parc des Berges

La femme dans la ville est le sujet choisi de Kambach pour représenter la thématique "la ville en mouvement" du mai des artistes 2013. 

 Une vue d'ensemble de "la femme du XXIè siècle.

 

 Ici en reine, à 6 mètres de hauteur, elle règne sur le Parc des Berges.

Que de monde à ses pieds. (© Photo Steph.Fleriag)

 

L'installation sur le parc des berges se fond dans un décor à la Dysneyland, ce n'était pas prévu ; vision décalée de l'art contemporain. 
 Sylvie Saint-Pierre (au centre) et Kambach lors de l'inauguration.

Ces visiteurs ont l'air visiblement intéressés. Ils ont raison de prendre le temps de regarder, car tout se passe dans le détail comme dans les miniatures persanes. 

© Photos Marianne Pollastro et Alexandre Rimond

J-3

Alors que le Parc des berges est en phase de finalisation malgré les caprices météorologiques, chacun s'active à sa tâche : ouvriers et chef de chantier, responsables d'opération de la mairie, artistes graffeurs et l'équipe de Kambach.

 Etrangeté sur la pelouse, avec la grue en arrière-plan dans le ciel, l'œuvre de Kambach prend l'allure d'un ovni.

Flash back, 5 heures plus tôt.

 Denis transporte les éléments en bois de la structure.

 
 Le montage est bien parti sous l'œil vigilant d'Albane (chargée de mission arts visuels)

 Drôle de cactus.

 Denis et Kambach vissent sans relâche avec des vis de charpentier de 20 cm. 

Pendant ce temps...

 Un ouvrier jardinier passe à côté des rouleaux de gazon.

Tous en chantier sur le flow-park, graffeur et ouvriers

© CLafosse

J-10

Livraison J-10,  Les idées de Kambach prennent forme dans cette œuvre monumentale.

La ville en mouvement, la femme du XXIe siècle, un regard d'artiste.

 J'aime ou j'aime pas... l'artiste fait ce qu'il veut.

 A jamais perdu dans un labyrinthe de couleurs.

  

Sous

toutes

ses

formes,

 

La

ville 

se

meut 

  

comme

 un

 serpent.

 

Tandis que Marianne pose un regard tendre sur son créateur.

 Mode et modernité, une influence de Paco Rabanne pour cet habit métallisé.

 

L'artiste et la vestale du temple se regardent d'un air entendu. 

"Le joueur de gimbarde", œuvre de Mukuna Kashala, s'est laissé charmer par la femme du XXIe siècle.

Le voilà maintenant bien accroché. 

Ballade dans les airs la nuit.

 Démonter la structure la nuit n'est pas une mince affaire, mais le temps est compté.

Denis, la tête dans les étoiles, démonte l'œuvre avec attention, le niveau de sécurité étant des plus arbitraires.

Un petit tour sur la friche pour voir l'avancée des travaux avant le 25 mai, jour de l'inauguration du Parc des berges.


Réunion avec l'équipe technique pour déterminer l'emplacement exact de l'œuvre.

 
 Le béton est-il bien lisse ? Rien de tel qu'un tour d'essai sur le flow-park par un des responsable du chantier.
Le modèle provient de Vancouver et 4 flow-parks de ce type (en creux) existent en France. 

© CLafosse

Une oeuvre interactive

Le thème retenu, « le mouvement et la ville », a incité Kambach à concevoir une œuvre interactive avec  l’environnement  et le public. Se situant lui-même dans l’espace existant entre son œuvre et le public, l'artiste invite le spectateur à pénétrer dans l’installation « La femme du XXIe siècle » dont la perception se fait subjective et lui permet de s’approprier l’œuvre.

A travers les images qu’il perçoit et le regard qu’il porte sur l’installation, le visiteur, sous l’effet visuel d'un kaléidoscope, crée le mouvement et la vie, car pour l’artiste toute œuvre vit grâce au mouvement.

L’étendue de la gamme chromatique et les détails sont d’inspiration persane. Ils évoquent également les vitraux des églises dont les couleurs évoluent à la lumière du jour. Ce mélange des genres révèle à la fois la complexité et l’unité propres aux villes. Le travail de Kambach a pour but d'instaurer un ensemble harmonieux et interactif dans un joyeux melting-pot de cultures.

Multiples rencontres au théâtre de la ville.

 Dans l'air du temps, Kambach mélange les formes et les couleurs.

Ici, l'architecture parfois anarchique que connaît une ville en mouvement.

 Un certain regard porté sur la ville.

Beauté du métissage.

© CLafosse